Après avoir été déclaré définitivement vainqueur de l’élection présidentielle du 20 décembre 2023, le Président congolais, Félix Tshisekedi, a prêté serment, samedi 20 janvier, pour un second mandat, devant un public de près de cent mille personnes ayant pris part à la cérémonie d’investiture organisée au Stade des Martyrs de la Pentecôte.
Pour son second quinquennat, le Chef de l’État congolais, reconduit à son poste, dit tirer des leçons du passé et s’engage à travailler encore plus pour l’avènement d’un Congo plus unis, mieux sécurisé et plus prospère.
Un discours vivement salué par Moïse BIMANYU, ancien des médias, qui croit à la renaissance du Grand Congo. Un apogée qui passe par le vent de développement qui souffre dans tous les secteurs de la vie des congolais.
“Ce qui est plus important aujourd’hui c’est que notre pays est entrain de décoller et d’avancer. Moi, ce que je demande à nous tous congolais et africains c’est de saisir l’opportunité pour que notre continent aille de l’avant. On n’a plus le temps de mener des guerres et s’entretuer politiquement. C’est plutôt le temps de préparer l’avenir de nos enfants”.
il ajoute :
« Il y a aujourd’hui plusieurs nations au monde qui essaient de nous imposer leurs cultures. Hors, nous sommes africains et forts. Nous demandons à tous les congolais et africains pour consolider les acquis, c’est-à-dire les valeurs positives de notre société”, a-t-il souligné.
Au sujet de l’insécurité grandissante dans la région des Grands Lacs, ce digne fils du pays privilégie la diplomatie pour mettre fin au conflit Rwando-congolais, alors que celui-ci résulte d’un problème n’ayant pas été résolu depuis deux décennies.
Néanmoins, il faudrait d’un commun accord prendre en compte des actes militaires, afin de rendre l’armée congolaise plus dissuasive, bien organisée et bien équipée.
Le compte à rebours ayant été lancé, le Chef de l’État congolais devra faire face à bon nombre de défis tant sécuritaires que socio-économiques.
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