C’est ce vendredi 24 janvier 2025 au Memling Hôtel de Kinshasa que le secrétaire général du Ministère de l’environnement et développement durable a lancé officiellement l’atelier du projet “ Nexus Eau -énergie -écosystème ” qui vise l’amélioration des résiliences de la République démocratique du Congo face aux effets des changement climatiques et optimiser en temps l’utilisation rationnelle des ressources de secteur de l’eau ,de l’énergie et de l’écosystème.
En outre, l’objectif de cet atelier national est de réunir les parties prenantes, présenter le projet aux partenaires prenants et aux partenaires techniques et financières(PTF) afin de clarifier les rôles et responsabilités de chacun et d’établir un cadre de collaboration pour une mise en œuvre réussie.
Dans son discours, le secrétaire général de l’environnement et développement durable a expliqué la nécessité de la mise en œuvre de ce projet dont la province du Maniema a été choisi comme zone pilote.


“ La province du Maniema choisie pour la mise en œuvre de la phase pilote de ce projet, contribuera à la collecte des données pour la mise en place d’un outil d’aide à la décision susceptible pour améliorer notre résilience faces aux effets du changement climatique par des politiques incitatives et d’intégration de tout le monde de cette province ”, a-t-il déclaré.
En effet, la mise en œuvre de ce projet nexus eau-énergie-écosystème est une véritable preuve de l’interdisciplinarité dans la gestion durable de ressources en eau.
Contexte sur la mise en œuvre du projet
Dans ce contexte de la gestion durable des ressources en eau, cet approche nexus signifie simplement le lien qui doit être entre l’eau , l’énergie et l’écosystème. Ces trois éléments soient intimement liés à la qualité et à la quantité des ressources en eau disponible.
“ Nous devons nous mettre dans ce concept qui est complexe avec tous ces éléments pour que nous puissions avoir une gestion durable de ressources en eau sinon, si nous nous ne gérons pas nos ressources en eau, les conséquences nous le savons, nous allons tous crier et alors pleurnicher aussi longtemps que nous devons, plutôt pouvons travailler ensemble pour que nous puissions nous cheminer à la collecte des informations ,des données ,de tous ce qui peut-être nécessaire ,pour que ce projet soit un projet bancable , nous apporte des outils qui peut nous aider à lutter non seulement contre les changements climatiques mais aussi améliorer les conditions de vies des nos populations ”, a-t-il souligné.
Cet l’atelier national a connu la participation de plusieurs représentants des ministères sectoriels concernés notamment celui de l’environnement, des resources hydraulique et électricité et d’autres parties prenantes.
Dorcas Kapinga
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