Qui se sent morveux, se mouche, dit un adage.
Cependant, il est assez hasardeux qu’un inculte trouve l’occasion de se faire un nom derrière des hommes forts ayant fait preuve de grande notoriété devant les sommités de la presse, de la grande presse tant nationale qu’internationale. Et, il faut être Hervé Mulumba pour paraître plus à l’aise que jamais devant une presse rodée que d’aucun se retient, craignant par moment l’humiliation.
Carel Kasembele et Yves Buya, car, c’est d’eux qu’il s’agit, en ont-t-ils les coudes pour se défendre devant Top Congo et d’autres médias, Digital par exemple ? Si, déjà, pour écrire, il présente des lacunes, même dans la formulation des phrases, à plus forte raison lorsqu’il lui serait demandé de se mesurer à la facilité de langage, de communication qu’incarne Hervé Mulumba ?
Il va de soi qu’ayant senti leur échec avec la nomination d’un second SG d’une UDPS imaginaire en l’espace d’une quinzaine des jours, nos amis récalcitrants de la fronde multiplient des stratégies pour réussir leur coup qui, déjà, s’est soldé en pétard mouillé.
Plutôt que de rebrousser chemin, les sages s’étant retenus face à l’usage répété des règles des statuts, les récalcitrants se sont eux engagés dans une entreprise vouée à l’échec, cherchant à s’éterniser dans le flou artistique entretenu par les parrains de l’irrationnel.
À n’en point douter, dans la perspective de forcer la note, nos amis, avec en-tête monsieur Carel Kasembele, empli de ses failles en français, ce n’est pas notre langue va-t-il se justifier, vont davantage commettre des bévues susceptibles de les discréditer auprès de la population, en général, et des membres de l’UDPS, en particulier.
Si, en tout cas, ce n’est pas pour rire, les observateurs avertis ne s’expliquent nullement pas comment des gens sérieux peuvent s’engager dans une aventure sans lendemain et qui se vendent à vil prix pour obtenir un poste au gouvernement, tandis que d’autres se battent bec et ongles pour se maintenir, qui, au fauteuil du PCA, d’autres en qualité de gestionnaire d’entreprise.
Mais alors, qu’ils n’oublient pas cet adage qui dit:
Tant que la cruche s’enfonce, tant qu’elle se casse. Ils sont loin de la réalité. La surprise désagréable sera leur partage, pour longtemps encore.
À bon entendeur, salut !
MAKOLO MBANGU!!!