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Dans un communiqué officiel du parti politique de Moïse katumbi, Ensemble pour la république ,rendu public ce Mercredi 9 avril à Kinshasa dont le document est parvenu à notre rédaction de réforme .cd le même jour .Le communiqué met en évidence l’exclusion définitive du député IRACAN Unen Gratien de saint Nicolas ,du parti Ensemble pour
Muet depuis durant plusieurs mois, l’ancien Président de la République Joseph Kabila est sorti de son silence. Le leader du FCC a fait bloc avec Moïse Katumbi contre les actions posées par le régime Félix Tshisekedi. Dans une déclaration commune au terme d’une rencontre à Nairobi au Kenya, les deux personnalités politiques ont pris position
En difficulté logistique, la Commission Électorale nationale et indépendante (CENI) a lancé un crie d’alarme à la présidence de la République de mettre à sa disposition 4 antonov et 10 hélicoptères pour le déploiement du personnel et matériels électoraux sur l’ensemble du territoire national. En moins de deux semaines de la tenue des élections, alors
Le candidat à l’élection présidentielle Moïse Katumbi poursuit sa tournée dans le congo profond dans le cadre de sa campagne électorale. Après l’étape de Kindu dans le Maniema où un incident majeur a eu lieu, ôtant la vie à un cadre en la personne de Dido Kakisingi, président de la jeunesse d’Ensemble pour la République,
Le convoi de campagne électorale de Moïse Katumbi à Kindu, dans la province du Maniema, a été attaqué ce mardi 28 novembre 2023. Au total, une personne est décédée lors de cet incident. Le parti Ensemble pour la République a vivement condamné cette attaque survenue ce mardi 28 novembre 2023, coûtant la vie à Dido
Candidat à l’élection présidentielle, Moïse Katumbi, leader du parti politique Ensemble pour la République est attendu ce samedi 25 novembre 2023 dans la province du Nord-Kivu. Cadre du parti Ensemble pour la République, Maître Ghislain Syauswa, confirme cette nouvelle et appelle la population à réserver à son candidat à la course à la magistrature suprême
La ville de Goma dans le Nord-Kivu a été le théâtre d’une répression violante avec au moins 48 morts selon le bilan avancé par l’AFP. Les manifestants de la secte Uzalendo ont inondé les rues de la ville volcanique pour demander le départ de la Monusco. Suite à ce drame, deux grand leaders de l’opposition
